Résumé :
Dans les années 1970, une maison à Paris a accueilli des dizaines de déserteurs portugais qui échappaient à la guerre coloniale. Aujourd’hui seules les archives de la police politique portugaise témoignent de leurs activités anticoloniales. De personnage en personnage, à partir de témoignages et d’images amateurs, je reconstitue cette mémoire clandestine.
Dans les années 1970, une maison à Paris a accueilli des dizaines de déserteurs portugais qui échappaient à la guerre coloniale. Aujourd’hui seules les archives de la police politique portugaise témoignent de leurs activités anticoloniales. De personnage en personnage, à partir de témoignages et d’images amateurs, je reconstitue cette mémoire clandestine.
La critique de Libé du 14/10/2022 :
Dans les mains invisibles, Hugo dos Santos, Portugais de France, mène l’enquête sur un petit groupe de personnes ayant fait partie, à la fin des années 60, de ces centaines de milliers de déserteurs qui refusaient de participer aux guerres salazaristes contre les mouvements de libération dans les colonies portugaises en Afrique. En retrouvant un à un les membres du groupe du 15 rue du Moulinet – adresse parisienne d’une certaine Thérèse Martinet ayant abrité les militants Vasco Martins, Tino Flores, Helder Costa et les autres, autour de 1968 – Les mains invisibles, sous ses aires sages, de prose documentaire de base, prend une réelle épaisseur historique et romanesque, dépliant patiemment le roman vrai des vies prises au cœur de la lutte, les battements de leurs histoires entre la mémoire et l’oubli.
Dans les mains invisibles, Hugo dos Santos, Portugais de France, mène l’enquête sur un petit groupe de personnes ayant fait partie, à la fin des années 60, de ces centaines de milliers de déserteurs qui refusaient de participer aux guerres salazaristes contre les mouvements de libération dans les colonies portugaises en Afrique. En retrouvant un à un les membres du groupe du 15 rue du Moulinet – adresse parisienne d’une certaine Thérèse Martinet ayant abrité les militants Vasco Martins, Tino Flores, Helder Costa et les autres, autour de 1968 – Les mains invisibles, sous ses aires sages, de prose documentaire de base, prend une réelle épaisseur historique et romanesque, dépliant patiemment le roman vrai des vies prises au cœur de la lutte, les battements de leurs histoires entre la mémoire et l’oubli.
Le dimanche 21 avril, il sera présenté à 15h00 à la MJC des Hauts de Belleville.
43 Rue du Borrégo, 75020 Paris
Métro Télégraphe ou Saint-Fargeau.
Le mardi 23 avril, il sera présenté à 18h00 à la Contemporaine, à Nanterre.
RER Nanterre Université (en face de la gare)